Aujourd'hui, sur le blog, on vous présente Noyoco, une marque de vêtements parisienne qui prône la responsabilité écologique de haute qualité en petite série. Dans cette interview, on raconte comment lui et ses partenaires ont créé cette marque éthique. Il a fait découvrir la production de vêtements Noyoco et son intérêt pour la modernisation.
Comment présentez-vous les marques Noyoco ?
On espére utiliser Noyoco pour créer des vêtements simples et à la mode qui n'endommageront pas la terre. Ces collections sont unisexes et sont composées de matières naturelles. Porter Noyoco, c'est porter une garde-robe éco-responsable. Un autre aspect du concept est de combiner l'éthique avec des marques de prêt-à-porter cool, mode et urbain. On a créé cette marque il y a trois ans. Elle est l'épine dorsale de son premier projet né en 2012, et mon partenaire actuel travaille également sur ce projet. On a tous repris ce projet, on l'a complètement réinventé, et c'est ainsi qu'on a fait sortir Noyoco de terre.
Le site www.les-allies.com vous permet d'obtenir beaucoup plus d'informations sur la vente en ligne de vêtements éco-responsables Noyoco. Il est conseillé de faire le bon choix pour éviter des mauvaises surprises.
Par quel canal vendez-vous la marque Noyoco ?
Noyoco est né dans le commerce de détail, à l'origine une marque de magasin 100 % physique, et même pas de site Internet. À la même époque, on utilise Shopify dans un concept store, mais on l'utilise en fait pour référencer un catalogue de produits et d'accessoires sélectionnés, ce n'était donc pas du tout un outil de vente en ligne. Quand on est arrivé, on a lancé le site web, développé la marque et ses revenus ont commencé à grimper. Il y a donc un an et demi, on a ouvert notre deuxième boutique à Paris.
Aujourd'hui, 30 % de notre chiffre d'affaires provient d'Internet et 70 % de notre chiffre d'affaires provient du commerce de détail. On pense que ce n'est que le début. Car en fait, lorsque vous possédez un magasin physique, vous avez un résultat net presque immédiatement, bien sûr, si vous ne faites rien. Cependant, si vous avez un bon travail, un excellent vendeur et que votre magasin a une offre, vous obtiendrez des ventes de machines. Pour les sites Web, ce n'est pas le cas.
En ce qui concerne les vêtements éco-responsables Noyoco, il est recommandé d'effectuer une comparaison afin d'obtenir des belles marques.
Engagement très fort en matière d’écologies
Lorsque la marque est née il y a trois ans, quelqu'un a dit un jour que la mode était la deuxième industrie la plus polluante au monde. C'est une news qui commence à paraître, et on en est très satisfaits. Cependant, les modes restent extrêmement polluantes, et il y a cinq explications majeures à cela. Où est tissée cette matière première ? Où est le traitement ? Où se déroule la production de la marque Noyoco ?
À ce moment, le tissu est en forme de rouleau. Ensuite, on l'envoie à d'autres endroits pour le distribuer, cela n'a pas de sens. Il existe des statistiques intéressantes concernant l'empreinte carbone des émissions de dioxyde de carbone des vêtements. Lorsque les prix du pétrole chutent, comme c'est le cas actuellement, toutes les industries textiles sont plus disposées à acheter de fibre synthétique que de fibre recyclée. On ne connaît pas l'impact indirect du prix du pétrole sur l'environnement dans la production de vêtements, mais il est très fort. Mon dernier point sur l'impact environnemental a trait au chaos.
L'un des problèmes du prêt-à-porter est le recyclage des fibres traditionnellement jetées dans les poubelles. Jeter un vêtement est la chose la plus effrayante sur terre, les consommateurs sont également intéressés à entrer dans le processus de tri. Car en fait, les vêtements transformés sont très chers.
Quel engagement avez-vous effectué la vente en ligne de la marque Noyoco ?
Pour être précis, les principaux facteurs limitants donneront à terme à votre marque une identité forte, et on envisage principalement le recyclage et le recyclage. Oui, pour vous répondre, il faut qu'on vous raconte une petite anecdote : alors qu'on envisage un surclassement, mon compagnon Louis est tombé fou amoureux de Lauriana, une mannequin roumaine de Noyoco. Ils se sont rencontrés et ne se sont jamais quittés. Puisqu'elle a aussi une marque de vêtements en Roumanie, elle a fait découvrir la production locale. Imagine Romania est l'un des centres de tissus d'occasion, parfait. En raison de cette relation, on a établi un réseau de recyclage. On a fouillé plusieurs entrepôts, à droite le personnel et à gauche tout l'inventaire de la grande maison. On a atterri, c'est le paradis, c'est grand, on a quatre étages. On entre, achetons des tissus, les déplions, vérifions les matériaux et partons. On est allé à l'atelier, avons posé des choses, puis on a pensé : « Qu'est-ce qu'on va faire avec ça ? ».